Le chanteur, auteur, compositeur et réalisateur Arnold Turboust, collaborateur de longue date d’Étienne Daho, fait paraître Sur la photo, un sixième album encensé par la critique, en France et au Québec !

Parution le 10 février 2023
Rue du Docteur Fontaine Productions / Kuroneko

Montréal, le 2 février 2023– Figure incontournable de la pop française, Arnold Turboust reste le compositeur et l’interprète de l’indémodable Adélaïde (1986), interprété en duo avec l’actrice Zabou, ainsi que le compositeur de quelques-uns des plus grands tubes d’Étienne Daho, dont Tombé pour la France, Épaule Tattoo, Les Bords de Seine et Rendez-vous au jardin des plaisirs. Il fut d’ailleurs l’un des premiers chanteurs/réalisateurs de sa génération. Avec cinq albums parus depuis 1988, il a traversé, l’air de rien, les trois dernières décennies à son rythme discographique, entre succès publics et discrétion médiatique.

Avec Sur la photo, le sixième album en carrière d’Arnold Turboust que le magazine Les Inrocks qualifie de « Pionnier de la pop française », l’artiste poursuit son œuvre aussi soignée que désinvolte après sept ans d’absence. Entre mélodies imparables (Honni soit qui mal y pense, Évidemment) et balades synthétiques (son premier extrait radio, Rue de la Croix-Nivert, La Vérité augmentée, en duo avec Tess, Belmondo), Arnold fait mouche, avec l’humilité rare qui caractérise sa discographie éparse.

Cet album se distingue par les formidables contributions d’autres artistes, notamment Tess, qui a également pris la magnifique photo de couverture d’Arnold dans sa Normandie natale. La Californienne Laurie Mayer et l’artiste japonaise Kumisolo font également des apparitions vocales. La performance en duo de la célèbre soprano Patricia Petibon y est particulièrement étonnante. Les fidèles guitaristes Yann Leker, Matt Mondanile et Tox Geronimi sont encore une fois de la partie, alors que le multi-instrumentiste/chanteur Vincent Mougel et le batteur Stéphane Bellity sont de nouveaux ajouts passionnants à la liste.

Enregistrées à son propre studio Melodium à Paris et à distance avec Rico Conning, son complice de longue date, ces 14 nouvelles chansons génèrent d’ores et déjà des critiques dithyrambiques dans l’Hexagone.

« À l’écouter, on ne sent jamais le labeur ni les efforts, comme si la sève pop coulait de source chez lui. D’une humilité et d’une discrétion légendaire, l’homme pourrait pourtant donner des cours d’auteur-compositeur à quelques imposteurs hexagonaux. » Frank Vergeade, Les Inrocks.

« Belmondo, titre hommage à L’homme de Rio et à Françoise Dorléac, Élodie, hommage à Bobby Lapointe et Serge Gainsbourg et Pour ne pas dire, taillé pour Étienne Daho représentent la quintessence de cet album raffiné, ourlé, nuancé, en un mot singulier. » Sam Olivier.

Sélections

1. Honni soit qui mal y pense (4 :33) (Turboust /Conning-Turboust) FR9W12212689
2. Évidemment (4 :13) (Turboust /Conning-Turboust) FR9W12212690
3. Rue de la Croix-Nivert (4 :15) (Turboust /Conning-Turboust) FR9W12212691
4. La vérité augmentée (3 :29) (Turboust / Mondanile -Turboust) * en duo avec Tess FR9W12212692
5. L’arpeggiator (3:32) (Turboust /Conning-Turboust) FR9W12212693
6. À supposer (4:14) (Turboust /Conning-Turboust) FR9W12212694
7. Sur la photo (2 :59) (Turboust /Conning-Turboust) FR9W12212695
8. Des si des mais (4 :05) (Turboust /Conning-Turboust) *en duo avec Patricia Petibon (courtoisie Sony musique) FR9W12212696
9. Lady’s fingers (4:21) (Turboust /Conning-Turboust) * chanteuse invitée Laurie Mayer FR9W12212697
10. Ye souis (3 :07) (Turboust /Conning-Turboust) FR9W12212698
11. Moi si j’étais vous (4 :27) (Turboust /Conning-Turboust) * featuring Kumisolo (courtoisie d’Alter K) FR9W12212699
12. Belmondo (3:56) (Turboust /Conning-Turboust) FR9W12212700 OUST
13. Pour ne pas dire (3 :43) (Turboust /Conning-Turboust) FR9W12212701
14. Elodie (2 :08) (Duvall/Turboust) FR9W12212702

Le 19 mars 2018, à la SACEM, Arnold Turboust recevait le grand prix de l’autoproduction de l’UNAC (Union nationale des auteurs et compositeurs), une récompense méritée pour cet artiste incomparable qui irrigue la pop française depuis les années 80.

« Il y a chez Arnold Turboust quelque chose de la fluidité de Trenet, du détachement de Gainsbourg, une sorte d’indulgence tendre pour autrui, exigeante pour lui-même ; un humour sans cynisme et une diversité musicale des plus plaisants », écrit joliment Françoise Sagan à son propos.

Vidéoclip Rue de La Croix-Nivert

Vidéoclip Belmondo

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